Bretagne_Charme

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posté le 13-12-2011 à 11:51:40

Danse bretonne

Danse bretonne

victoiredu29 IC

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1. christianus le 28-06-2012 à 15:13:16

j,adore ces peintures

2. Mik jegou le 26-03-2016 à 00:36:07 (site)

Bonsoir
en parcourant le net, je viens de tomber sur votre post de tableaux. je ne sais pas si c'est vous qui les avez réalisé.
Le premier représente des danseuses. J'attire votre attention qu'il s'agit d'une copie d'une de mes oeuvres qui sont protégés par la propriété intellectuel et le droit d'auteur. Renseignez-vous bien sur la législation lié a l'image.Il devrait être mentionné copie d'après Mik Jegou
C'est flatteur d être copier mais uniquement à usage privé et non commerciale.
très bonne soirée.
Mik Jegou

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Peintures et tableaux

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posté le 12-12-2011 à 21:39:38

Turbot breton poché au cidre brut et andouille de Guéméné

Ingrédients :

4 tronçons de turbot de 200 g chacun avec arête
1 carotte
1 oignon
3 échalotes
Persil
Huile
1,5 l de cidre
Thym, laurier
20 cl de crème fraîche
5 tranches d’andouille de Guéméné
50 g de beurre
Sel
Poivre blanc

Préparation :

Faire revenir carottes, oignons, persil, arête et tête de poissons dans un peu d’huile chaude.
Dégraisser puis mouiller avec le cidre et un demi-litre d’eau, ajouter le thym et le laurier.
Cuire doucement 1 heure et passer au chinois (tamis très fin).
Hacher finement les échalotes et en tapisser une plaque à rôtir puis y poser les morceaux de turbot.
Mouiller avec le fumet de poisson et ajouter une tranche d’andouille.
Cuire à four chaud 20 mn.
Retirer le turbot, enlever la peau et tenir au chaud.
Faire réduire le jus de cuisson avec la tranche d’andouille.
Ajouter la crème, réduire à nouveau puis ajouter le beurre hors du feu. Passer au chinois.
Passer à la poêle et au beurre 4 belles tranches d’andouille et bien les faire dorer. Les disposer sur le turbot.
Napper de sauce et servir.

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Recettes de cuisine

posté le 12-12-2011 à 20:49:59

Le plus petit des Korrigans

Le plus petit des Korrigans

Anicet le Bossu faisait métier de jouer du biniou.

Sitôt qu'il y avait une noce dans le pays, on le voyait arriver l'instrument sous le bras et suivi de son chien Gwendal. Il jouait le temps qu'il fallait et souvent plus.

- A se revoir la compagnie ! Allez Gwendal, derrière ! Et le voilà parti allant d'un côté à l'autre, de gauche à droite, de droite à gauche.

Il est vrai que la dernière bolée de cidre est souvent la bolée de trop !

- Je ferai mieux de me coucher, oui ! et il se laissa tomber au pied d'un rocher tapissé de fougères sèches.

Il n'eut guère le temps de dormir ; il fut vite réveillé par les aboiements plaintifs de Gwendal qui n'en finissait pas de trembler sur ses pattes.

- Vrai, il se passe quelque chose de pas normal ! et c'est alors qu'il entendit tout un remue-ménage à un mètre à peine, sous une énorme pierre.

- Seigneur Dieu! Un repaire de korrigans ! C'est bien ma chance ! et de répéter chaque fois qu'un des lutins sortait de la terre :

- Le bonjour à toi ... et à toi aussi ... le bonjour à vous tous !

- et le bonjour à toi ! Répondit celui qui avec sa barbe en pointe, des sourcils broussailleux avait des allures de chef.

Et à son signal, les korrigans se mirent tous à danser autour d'Anicet en chantant : Dilin ha dimern, Mar de achiui hou tra ho Ké ha ké ha ké Mar de achiui ou traou Ka hé ké ha ké ... (Lundi et Mardi si vous achevez votre travail, regrets et regrets vous aurez !) La chanson s'arrêtait là.

Il y avait bien une suite, mais aucun korrigan n'en connaissait le premier mot ! Alors ils reprenaient sans cesse les mêmes paroles, attendant vainement la suite.

- Tu connais la loi des korrigans ? demanda celui qui avait des allures de chef.

- Ma foi non !

- Soit tu trouves la fin de la chanson et tu deviens l'homme le plus riche du monde...

- et si je ne trouve pas ?

- je ne sais pas encore. On te changera peut être en crapaud ! ou bien on te collera une deuxième bosse sur le dos ! Attends un peu... J'ai une autre idée ! Sais-tu quel jour nous sommes ?

- ma foi non !

- Le 23 septembre... Le jour de la Saint-Kadog, le saint patron des korrigans ! La tradition veut que ce jour-là nous racontions des histoires, des histoires de lutins, bien sûr, et toujours en exagérant. Alors, puisque tu es là, nous te choisissons comme juge. A toi de décider, entre trois de nos conteurs lequel est le plus vantard. Seulement souviens-toi de ce que je vais te dire : "Per gwirion n'eo ked mad da laret !" (toute vérité n'est pas bonne à dire !).

Le premier korrigan commença ainsi :

- Ne cherchez pas ! je suis le plus petit. Et c'est de famille ! A l'époque où mon pauvre père vivait et où un lutin était encore un lutin, il passait sous le poitrail d'un cheval sans avoir à se baisser ! et on l'applaudit comme il se devait.

Le deuxième était déjà plié en deux par le fou rire :

- Eh bien moi, mon père était plus petit encore ! Pensez un peu : d'une niche de chien il s'était fait une demeure de cinq pièces !

Et on l'applaudit tout autant. Vint le troisième concurrent.

- Quelle chance vous avez tous les deux d'avoir connu vos pères ! Le mien est mort bien avant ma naissance. C'est ma mère qui m'a appris qu'il s'était tué en tombant d'une échelle alors qu'il cueillait des fraises dans la région de Plougastel !

- alors ? Lequel des trois a le plus exagéré ?

- Pas plus l'un que l'autre.

- Comment, rugit le troisième korrigan-conteur, n'ai-je pas mieux menti que les autres ?

- Peut être, mais si je l'avais dit, les deux autres m'auraient assommé.

- Ca c'est sûr ! Dis donc, tu as oublié d'être bête, toi !

- je me suis souvenu : "Toute vérité n'est pas bonne à dire !"

Ankou La Légende Bretonne fb

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Histoires et Légendes

posté le 12-12-2011 à 20:10:42

La nuit interceltique de Lorient 2011

La nuit interceltique de Lorient 2011

Le Festival interceltique de Lorient (FIL) est un festival de musique celtique qui se tient tous les ans à Lorient, en Bretagne.

Il réunit des groupes des pays et régions d'origine celtique : Asturies, Bretagne, Cornouailles, Écosse, Galice, Irlande, Île de Man, Pays de Galles ainsi que les pays de la diaspora celtique Acadie, Australie, Nouvelle-Zélande, ...

Le festival a été installé à Lorient en 1971 et est actuellement dirigé par l'asturien Lisardo Lombardia. Il a réuni 800 000 spectateurs (dont 115 000 payants) en 2010, selon ses organisateurs1.

Ce festival accueille également le concours d'été des bagadoù de première et deuxième catégories ainsi que de la seconde moitié de la quatrième catégorie. Sous la direction de Jean-Pierre Pichard, d'année en année, le festival s'est adapté à la société tout en faisant partager ses richesses de cultures. Aujourd'hui, il est devenu l'un des plus grands festivals au niveau international. Chaque année un des pays invités est mis à l'honneur.

La croissance du festival se poursuit par la mise en place d'évènements en dehors de Bretagne. La direction du stade de France fait appel au festival pour y assurer la fête de la Saint-Patrick de 2002.

L'expérience est reconduite pour un total de quatre spectacles donnés dans ce même stade jusqu'en 200445.

L'expérience abouti à la mise en place d'une société, I3C, filiale du festival pour gérer ce type d'évènements46.

D'autres spectacles sont donnés dans le reste de la France, dont quatre au Zénith à Paris, quatre spectacles Celtica au stade de la Beaujoire à Nantes et deux au stade de la route de Lorient à Rennes, ainsi que spectacles Koroll à Lille et Lyon47 et une Breizh Parade en 2007 sur l'avenue des Champs-Élysées48. La société IC3 est cependant mise en liquidation judiciaire en 2008 en raison de ses pertes48 et la mise en place de type de spectacle n'est relancée qu'en 2011 avec la programmation d'une fête de la Saint-Patrick au Stade de France en 201249.

Aujourd'hui, le festival se concentre dans le centre de la ville avec des quais pour chaque nation celte, ainsi que des groupes indépendants jouant aux terrasses des cafés. D'autres lieux notoires de Lorient sont également investis : le Stade du Moustoir (pour les nuits Interceltique) ou encore le slipway du port de pêche, où deux nuits clôturent le festival par une série de concerts.

Chaque année depuis 1994, une nation celte est mise à l'honneur.

La Galice est la première à avoir bénéficié de ce système cette année-là50. Depuis 1998 et l'année des Asturies, la délégation invitée dispose d'un chapiteau propre43, ainsi qu'une visibilité importante dans la promotion faite pour le festival.

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1. lemaitredescles le 12-12-2011 à 21:20:17 (site)

Magnifique manifestation.
Ar'wechal

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Videos divers

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posté le 12-12-2011 à 17:28:34

Galette de pommes de terre et potimarron au saumon fumé

Galette de pommes de terre et potimarron au saumon fumé

* 500 g de purée de pommes de terre

* 500 g de purée de potimarron

* 100 g de farine

* 2 œufs entiers

* 2 jaunes d’œufs

* 10 cl de lait

* 10 cl de crème fraîche

* Huile

* Sel

* Poivre

* Muscade râpée

* 2 tranches de saumon fumé

Mélanger les deux purées puis l farine, les œufs, les jaunes, le lait et la crème, sel, poivre, muscade.

Cuire dans une poêle bien chaude des petites cuillerées de cette pâte. Servir de suite en y ajoutant des petits dés de saumon fumé.

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1. charlie62 le 16-12-2011 à 10:21:11 (site)

ohhh la la !
le tour de taille !
mais ça a l'air trèèèèèèèèèès bon

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Recettes de cuisine

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posté le 12-12-2011 à 16:37:22

Pourquoi aimer la Bretagne?

Pourquoi aimer la Bretagne?

Parce qu'il y a la mer, pas une mer qui se limite à une quantité d'eau salée,

c'est une mer vivante, qui ondule et respire comme un corps

Une mer qui assoupie appelle des caresses, des baisers

C'est aussi une mer qui chante, posez-vous à une pointe qui avance dans les vagues, fermez les yeux, ouvrez les oreilles : ce sont des symphonies qui vous enveloppent, des voix ensorceleuses, qui grondent parfois, on ne sait pas trop contre qui, mais aussi des voix divines qui appellent et apaisent

Puis quand on lui tourne le dos, parce que la nuit tombe, le chant disparait doucement et l'on ressent une tranquillité intérieure

Il faut en abuser de cette mer !!!

philippez IC

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1. anaflore le 12-12-2011 à 18:00:53 (site)

surtout quand elle est en colére lol

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Poèmes

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posté le 12-12-2011 à 15:31:26

La pointe de la Varde

La pointe de la Varde

La pointe de la Varde est située à la sortie de la Cité corsaire, dans l’ancienne commune de Rothéneuf, maintenant intégrée à Saint-Malo. Sauvage elle s’avance dans la mer, couverte d’une bruyère rase qui se penche par-dessus les falaises et tendent une oreille attentive, admirative, aux grondements des vagues.

C’est un chant que se renvoient les crevasses, les entailles, dans le granit. Au-dessus de ce cette harmonie de tonnerre, le cri des goélands apparaît comme une mélodie désespérée.

Les chemins sont nombreux, à travers la lande ou longeant les falaises musicales. Au vu des ruines d’un fort du 17^ème siècle et des blockhaus ou devine les gardiens de ces lieux. On sent leur respiration à l’affut. Absents, pétrifiés dans une glaise invisible.

Une dernière fois, on regarde le large, on s’enivre des camaïeux du ciel et de la mer, on aspire longuement les embruns iodés. Puis doucement on fait demi et on quitte ces lieux, lentement, à regret…

La pointe de la Varde est située à la sortie de la Cité corsaire, dans l’ancienne commune de Rothéneuf, maintenant intégrée à Saint-Malo. Sauvage elle s’avance dans la mer, couverte d’une bruyère rase qui se penche par-dessus les falaises et tendent une oreille attentive, admirative, aux grondements des vagues.

C’est un chant que se renvoient les crevasses, les entailles, dans le granit. Au-dessus de ce cette harmonie de tonnerre, le cri des goélands apparaît comme une mélodie désespérée.

philippez IC

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posté le 12-12-2011 à 15:04:50

Celtic Spirit - Lyra (Ta Muid)

Celtic Spirit - Lyra (Ta Muid)

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1. framboise24 le 13-12-2011 à 09:22:03 (site)

bonne journee madouce
je vais essayer de faire les galettes au potimaron
merci
passe une excellente journee

gros bisous

2. charlie62 le 18-12-2011 à 12:04:32 (site)

on est transportés !

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Musique Celtique et Bretonne

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posté le 12-12-2011 à 15:01:38

CELUI QUE J'AIME - An Hini a garan ( Cécile Corbel).

CELUI QUE J'AIME - An Hini a garan ( Cécile Corbel).

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posté le 12-12-2011 à 14:07:05

Le Pays Bigouden C’est où ? C’est quoi ?

Le Pays Bigouden C’est où ? C’est quoi ?

A l’extrême pointe de la Bretagne, dans le sud-Finistère , tout au bout de la terre 20 communes presque toutes orientées vers la mer, frontière évidente à l’ouest et au sud. Sur ces 20 communes, 5 seulement s’enfoncent dans les terres sans aventure maritime ; là au nord la frontière est plus floue. Mais qu’importe !

Le Pays Bigouden n’a pas de reconnaissance administrative c’est avant tout « un espace vécu », un territoire dont chaque habitant reconnaît les limites, ressent l’identité d’un Pays du bout du monde cerné par l’océan.

Il fallait pour survivre faire face à l’infini, à l’inconnu, aller voir de l’autre côté, au mépris du danger.

Les marins de chez nous ont navigué sur tous les océans notamment à la recherche de nouvelles zones de pêches. Ils ont traqué la langouste au Maroc, le thon en Afrique, la langoustine sur les côtes d’Irlande etc …Ces confrontations permanentes à d’autres langues, d’autres cultures, d’autres pays leur ont apporté une capacité à s’ouvrir sur l’extérieur, à accepter la nouveauté, à l’adapter à leur environnement.

Mais quand vous voyagez tout le temps au loin, vous appréciez d’autant plus en rentrant de retrouver votre chez vous, vos traditions, vos habitudes, votre langue, votre identité. C’est sans doute le mélange de tout cela qui forge « l’identité bigoudène ».

Un Pays capable d’adaptation, d’évolution mais fidèle à ses traditions, à sa qualité de vie, à ses exigences.

Un Pays qui veut aller de l’avant, tendre toujours vers le haut, quelque soit les difficultés. Sans doute est-ce pour çà aussi que le symbole de ce pays est une « coiffe invraisemblable », une coiffe de 33 cm dans un Pays venté.

petitcow-boy IC

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